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Show HO L* E T O u R D r , C E L I E . Je viens d'entendre ici ce fucces mervilleux H Y P O L i T E / i Leandre. ' "En vain vous parleriez pour exculer vos fcu Si j'ay devant les yeux ce que vous pouvez di L E A N D R E re* Un genereux pardon eft ce que je defire • jMais j'attefte les Cieux , qu'en ce retour foud • M o n pere fait bien moins que m o n proorerJ'" A N D R K S m. Cclic. kl: Qui Tauroit jamais c m que cette ardeur fi PUr. Tut etre condamnee un jour par la nature Toutefois , tant d'honneur la fceut toujours r,; Qu'en y changeant fort peu je puis la retenir. ' C E L I E . Tourmoi Jemeblamois, 5c crovois faire fam, Quand je n'avois pour vous qu'une eiiimetr; haute ; "* Je ne pouvois fcavoir quel obftaclc puiiTant M'arretoit fur un pas fi doux tk fi gliffant Et detournoit m o n coeur de Paveu d'un flam* Q u e mes fens s'crTorcoient d'introduire CDJKH ame. T R U F A L D I N. Mais en te recouvrant, que diras- tu de moi) Si jefongeaufli-tot a m e priver detoi? Et t engage a fon fils fous les loix d'hymentt, C E L I E , Q u e de vous maintenant depend ma deftinee. S C E N E XI. TRUFALRIN , MASCARILLE , LELIE ANSELME, PANDOLFE, CELIE ' ANDRE'S, HYrOLITE, LEANDRE. V MASCARILLE. oyons fi votre Diable aura bien le pouvoir D e detruirea ce coup un filolideefpoir; Et fi contre Pexccs du bien qui vous arrive, rtlin :mprevu> des deftins les plus doux, pt*°ZCcouronncz, tk Celie eil a vous. O^onsendreiUftvra^ y A La chofe eft refolue. A *» D R Ey S. •^mrl*decequ*e.e vous dois. U'acqtutteparla^ , < ^ ^ Ilfautqueiet'e!nbrafIe&niillec,millcfois, Tans cette )oyc... A R r L t E. V h i ^ h i , doucement, ievouspne. CTJL ;*» mins fort pour ceiie, bssaafisssa' x> noTfeparons point qu'il ne foit termine, It quefon pereauffi nous foit viteamene. M A s c A » i r. L E. _ Voii! voilitouspourveus; n'eft-il point quelque nlle, r ... Qui put accommoder le pauvre Mafcarille; A voir chacun fe ioindre a fa chacune ici, j'ay des demangeaifons de mariagc aufli. A N S E L M E. pay ton fait. M A S C A R I L L E . Allons; tk que les Cieux profperes Nous donnent des enfans dont nous foyons les pe-res. E I N. Vous armcrez encor votre imaginative. h |