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Show 104 L' E T O U R D L E L I K. A h ! quel bonhcur au mien pourroir rtr- i A M D n E' s LC«! 11 eft vray d'«n bienfait je vous fuis rcdevahl. Si ,e nePavouois , je ferois condarnnable.' Mais enfin , ce bienfait auroit troo de rU. ' S'il falfoit le payer aux depcns d e U n ^ > Jugez dans le tranfport ou fa beaute me jZ ' Si |c dois a ce prix vous acquiter ma detIT ' Vousetes genereux , vous ne le voudri-V Adieu pour quclques iourS,retournons fur™' llemmetu Celie. SN . M A S C A R I L *L E Je ris , fit touterois je n en ay guere envie Vous voila bien d'acccrd , i vous HnnJ * , H e m ! Vous m'e*tendez bien! *'Qtk L E L I E . Te demander pour inoTdf fe^rs&3j* Jcfuis un chien , on traitre, u n b o u n d ^ indigi^d'aucunfoin, de rien faire 2 J B * va , cetfe tes efiorts pour un malencontretii' Qui ne fcaurcit loufFrir que 1'on le rende e l A p « tant de malhcurs , apres monimprofo? X e trepas m e doit feul prater fon afilftance ' M A S C A R I L L E Voila le vrai moyen d'achevcr fon deflin • 1 ne lui manque plus que de mourir enfin 1 our le couronnement de toutes fes fottifes • Wais en vain fon depit pour fes fames comn4 Luy fait hcencier mes loins & mon appui • Je veux , quoi qu'il en foit, le fervirUrela Et dell us fon lutin obtenir la viftoire- Tins l'obftacle eft puifiant3plus on recoitcMr Lt Iesdifficuhezdontoneftcombattu, & " Sont les Dames d'atour qui parent la vertu C O M E D I F. . ^Mrdcment j'attens fort peu de chole, PC " "vc-ifde fucces peut bien periiiader, C e qu on voir ju r Je s»3CCOrdei TO'f Q S C E N E VII. MASCARILLE, CELIE. C E L I E. uoicue tu vciiilles dire,ck quei'ori feprop tl] a,nirnispourruntairein;uiutca i ^ . N e voudroir p s po ^ ^ ^ ^ ^ ^ jt que tres-fortcmeor^ p ^ ^ , Jemetrouve^achW MC. J 5i Lelie a P 0 " ' 1 " ^ ™ ^ ^reconnoitfance , A n d r frU4i poCqueniespenfersfccrets, a^ncfouftr'"J^ encontrefesinterets: 0di'/ rij"J coeurne couronne fa flame. !i Je don de m on cow r ne fift f ^ r A IL a mes vceux autant de violence , Sifficultezqu'oppofeniondevmr 'ecequetupeuxteptomettred'efpoir. J D * M A s c A a I L L E. ' Cefont, adirev.ai,detres-facheuKobft.icJe^ ir icne fcai point Tart de faire des miracles: S J. ie vais employer mes e t a : plus pmiinr ; RemuerTcric&Ciel, m > prendre de tout fens , lour tachet de trouver un brais faluraire ; Et vous dirai bien-tot ce quifepourra faire. SCENE VIII. CELIE, HYPOLITE. H Y r 0 L I T F. 'epuis votre fe^onr, les Dames de ces ITeax , Sc ohi>ncnt juffement des larcins de vos yeux -, Si vcusieur de'robez leurs conquetes plus belies , Et de tous leurs Amans faites dcsinfidtlles* li n'eft guere de cceurs qui puiftent echapper Aux traits, dent a l'abord vous fcavez les fra Et mille iibertcz a vos chaincs orreries, Semblent vous enrichir chaque jour de nos penes > Quant a moi, toutefcis je ne m e plaindtois pas E 5 1 D |