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Show 474 L^ r a u. «- dt f« V « P«a prod °»:«UTM m t > p i,,-4,e l t s v o E o ]i 1 ^luhon que leur prcceroit la Scenes ^ o i q u e p n v c e s d e l a n o u v d J e f ^ qu'elles acqucrroient etant jouees par ^lebonsActeurs, Voila la difficult ;, icroitrare d'en trouverun grand nom-bre, continua-t-il, capable de jouerces Pieces; ces Scenes iimultaneesferoient embarraflantes a bien rendre ; cette adtion Pantomime feroit l'ecueil contre lequellaplupartdesComediensechoiie roient. L a Scene muette eft epineufe, c'eft la pierre de touclie de 1'Acteur. Ces phrafes coupees, ces fens fufpcn-dus, oupirs, ces ions apeinearti-cules d. nt une verite, une u lion 8c un efprit qu'il S U R L A D A N S E . 475 n'eft pas permis a tout le m o n d e d'a-voir 5 cette fimplicite dans les vete-ments depouillant PAcleur de 1 belliflement de l'Art, le laiifcroir v< tel qu'il eft ; fa taille n'etant plus re-levee par Pelegance de la parure, il auroit befoin pour plaire de la bel nature, rien ne mafqueroit fes imperfections , 8c les yeux du Spedateur n'etant plus eblouis par le clinquant 8c les colifichets, fe fixcroient cntierement fur le Comedien. Je conviens , lui dis-j-que Puni en tous genres exige de grandes perfections; qu'il ne fied qu'a la beaute d'etre iimple 8c que le deshabille ajoute m e m e a fes gtaces; mais ce n'eft ni la fuite de Mr. Diderot, ni celle de Mr. de Cahufac, ii les grands talents font rares; ils ne de-mandent Pun 8c Pautre qu'une pei- |