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Show lire VO TRE AL Z ECSE ME de la protecltcn dont tile daigne honorer les Arts* Les talents trcuvent toujours aupres d9elle cet ufyle tranquilUy capable feul de les faire {dor-re, la cu la nature nen avoit mis qu* le r rme , & de les faire develop per dans ux oil ils feroient refiis lan«uiffants. Cet ouvrage paroiffant fous les aufpices de votre augufte nom , regoit un prin+ cipedeviequi enaffure lefort. VAuteur ayant encore le bonheur de vous appar-tenir, fent deja ce feu facre dont la reconnoiffance embrafe les ames bien nees. Qiie ne puis - je voler auprh de VOTRE ALT ESSE SERENISSIME! Que ne puis-je9 MONSEIGNEUR , vous confacrer des ce moment mes foibles talents , & vous affurer du {ele& du profond refpeS avec lefquelsje feral toute ma vie , MONSEIGNEUR, de VOTRE ALTESSESERENISSIME, Le tres-humble, tres-obiipnt, & tres-devoue ferviteur, NovERR*. K **"* * *'*"** * * ' ** LETT RES S U R LETTRE PREMIERE. 3 A Poefie, la Peinture & la H 1 1 Danfe ne font, Monfieur , *f=^=** ou ne doivent etre qu'une copie fdelle de la belle nature: c'eft par la verite de cette imitation que les Ouvrages des Racine, des Raphael ont pane a la pofterite; aptes avoir obtenu (cequi eft plus rare encore) les fuffrages meme de leur fiecle. Q u e ne pouvons- A |