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Show 476 L nt, fe&ion on^ l' <lue Ion poun.olt avec «e l'emulation • I, * «-HUll , [Q (yenr„ °«< trace eft le .enre n ^ ^ ;, &e m e par excelle„ce. '' - ' ^ n t e fes traits & f > SUes « - & les confer de U »*r * de a ^ ne font ; Pour arnver a la pcfc^ fo,J ^ daig"£eS' P U H e m e natter dereuffir, »onfansdoute3MonneurJ&ilvauroit dela temerity a lc pe„fer. Je < & que la crainte frivole d'in. "over arrete toujours les Artiftes ft,. iillanimes ; ie n'ionnr*. ^: » ) jc n ignore point encore que Phabitude attache fortement les talents midiocres aux vieilles rubn-ques de leur profeiTion; je concois que Pimitation en tout genre a de charmes qui feduifent tous ceux qui S U R LA D A N S E . 477 font fans gout 8c fans genie; la raifon en eft fimple, c'eft qu'il eft moins difficile de copier que de creer. Combien de talents egares par une fervile imiration? Combien de difpofi-tions etouffees 8c d'Artiftes ignores pour avoir quitte le genre 8c la m a niere qui leur etoient propres, 8c pour s'etre erforces de failir ce qui n'etoit pas fait pour eux? Combien de Comediens faux 8c de Parodiftes deteftables qui ont abandonne les accents de la nature, qui ont renonce a eux - m e m e s , a leur voix , a leur marche, a leurs geftes 8c a leur phyfionomie pour emprunter des* organes, un jeu, une prononciation , une demarche , une expreilion 8c des traits qui les defigurent, dj maniere qu'ils n'offrent que la charge ridicule des originaux qu'ils ont voulu co- |