OCR Text |
Show ** L = T T R E S f-ppant Le pla,, & la t£ndre(r -dent fur le c h a m p , u ^ l--ge. Z . . loin dele plai„dremo; «e par one generonte ordinalre a„x belles ames un air de fefcfc qw ^ furele Sultan,c. q u i e a l ^ ^ ^ qu'il avoit de pcrdre l'objet de fa tn drefle. Ce calme fait renaitre la j„ie d a n s l e S e r t a i l J & l e ( ; A W % w Permet alors aux Eunuques de donner u n e ^ F e t e a Z ^ ; la Danfe devient generale, Dans un pas de deux > Zaire & Zaide fe reconcilient. Le Grand Sdgntur danfe avec elles un pas de trois dans lequel il marque toujours une preference decidee pour Zaire. Cette Fete eft terminee par une Contre-danfe noble. La derniere figure i>ftre un grouppe pofe fur un none e S U R U DAN- S E. 4' ,leve fur des gradins , il eft compofe des femmes- du Serrail & du Grand. Seigneur; Zaire 8c Zaide font air.fes a fes cotes. Ce grouppe eft couronne par un grand Baldaquin dont les rideaux font fupportes par des efclaves. Le, deux c6tes du Theatre offrent un autre grouppe de Boftangis , d'Eunuques blancs, d'Eunuques noirs, de Muets, de Janillaires & de Nains profternes aux pieds du crone du Grand Seigneur. Voila , Monfieur , une defcription bien foible d'un enchancement de Scenes qui toutes intereflent reellement. L'inftant ou le Grand Seigneur fe deci i celui ou il emmene la Sultane favorite, le combat des femmes , le grouppe qu'elles ferment a l'arrivee du Sultan, ce changement fubit, cette oppofiti de fentiments, cet amour que tou |