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Show 4$2. L E T T R E s gradent; lorfqu'enfin PexprelTion du fentiment eft fidelle ; que le coloring vrai ; que le clair-obfcur eft m e W avec art ; que les pofitions font no-bles; que lesgrouppes font ingenieux-que les maffes font belles & quele dellein eft corred , le tableau des-lors eft excellent 8c merite les plus grands eloges. Je crois , Monfieur, qu'une Fete Turque ou Chinoife ne plairoit point a notre Nation, fi on n'avoit Part de l'embellir, 8c je fuis perfuade que la maniere de danfer de ces Peuples ne feroit point en droit de feduire; ce cof tume exad 8c cette imitation n'offri-roient qu'un fpedacle tres-plat k pea digne d'un Public qui n'applaudit qu'autantquelesArtiftesonthttd'af-ibcier la. delicate^ 8c le genie aux A differentes S U R LA D A K S E . 4JJ difterentes produdions qu'on lui pre-fente. Si ceux qui m'ont critique* fur la pretendue licence que j'avois prife d'introduire des Boftangis 8c des Ja-nitfaires au Serrail, avoient ere temojns de l'execution, de la diftribution 8c de la marche de m o n Bailer , ils auroient vu que ces perionnages qui les ont blefle a cent lieues d'e'ioignement 7 n'entroient point dans la partie du Serrail ou fe tiennent les F e m m e s j qu'ils ne paroflfoient que dans le jar-din, 8c que je ne les avois aflbcies A cette Scene que pour faire cortege 8c pour rendre Parrivee du Grand Seigneur plus impofante 8c plus majef-tueufe. Aurefte, Monfieur, une critique qui neporte que fur un programme, rombe Ee |