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Show 76 L E T T R E S Je ne veux que des connoiflance gef nerales *, qu'une teinture de chacunt des Sciences, qui par le rapport qu'elles out entr'elles , peuvent concourir \ l'emhelliffement 8c a la gloire de la notre. T o u s les Arts fe tiennent par [ main, 8c font l'image d'une famitj nombreufe qui cherche a s'illufto Uutilite dont ils font a la Society ,oj cite leur emulation j la gloire eft leJ but 'y ils fe prctent mutuellement de fecours pour y atteindre. Chacun dra prend des routes oppofees , comrc chacun d'eux a des principes dl rents j mais on y trouve cepend certains traits frappants , cere de rettemblance , qui annonce M union intime 8c le befoin qu'ilsoa les uns des autres pour soever, pot am il , k u;r 8c pour fe p<*Petuer-s'embelhr , <* ? De ce rapport des A m , de cette harnaonieqmregneentr'eux^f-conclure , Monf.eur , que le Mai re tle Bailers, dont les connoilTances fet t l e plus etendues,& qui aura le plus de genie & ^imagination , fera celui qui mettra le plus de feu, de verite, d'efprit & d'interct dans feS compoiitions. Jefuis, &c. v |