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Show IjG L E T T R E S le point de perfpe&ive & dans les diffe, rents jours qui leur conviennent j f0n premier foin eft de ranger les morceaux de decorations avec tant de juftelfc qu'ils n'en forment qu'un feul bien en. tendu & bien d'accord y fon ta confifte a les prefenter avec viteffe, & a les derober avec promptitude. S'iln'J pas l'Arr de diftribuer les lumieres; propos , il affoiblit Pouvrage du P tre & il renverfe l'effet de la decoration. Telle partie d u Tableau qui do;: etre eclairee devient noire 8c obfcureil telle autre qui d e m a n d e a etre privet de lumiere fe trbuve claire 8c brillante| C e n'eft pas la grande quantite delam-pions jetes au hazard , ou arrange fymmetriquement qui eclaire bien un Theatre & qui fait valoirla Scene; I talent confifte a favoir diftribuer ks SVK i A DA NSE. *M lumieres par parties ou par ma fes me-gales, afin de forcer les endroits qui demanded un grand jour, de menager ceux qui en exigent peu, 8c de negli-ger les parties qui en font moins fuf-ptibles. Le Peintre etant oblige de mettre des nuances 8c des degradations dans ces Tableaux pour que la perf-pedive s'y rencontre , celui qui doit l'e'clairer devroit, ce m e femble , le confulter, arm d'obferver les memes nuances 8c les memes degradations dans les lumieres. Rien ne feroit fi m a u vais qu'une decoration peinte dans le meme ton de couleur 8c dans les memes nuances y il n'y auroit ni lointain ni perfpedive; de m e m e , f\ les morceaux de Peinture divifes pour former un tout font eclaires avec la m e m e force , il n'y aura plus &'entente, plus de mafe, Kiv |