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Show ~> L E T T R ES dans Particulation des genoux & de paroitre extremement rendu fans l'ctre en effet y c'eft la, Monfieur, i m a g e d u temps & • de Phabitude; lorfqu'elle eft fortement contraftec il eft c o m m e impoffible de reprendre fa pofition naturelle 8c vicieufe f^ dt orts qui caufent dans ces parties u n engourdiffement 8c une douleur infupportable. J'aiconnu des Danfeurs qui ont trouve PArt de derober ce defaut a tel point qu'on ne s'en feroit mais appercu , fi Pentrechat droit k les temps trop forts ne les avoient de« celes. E n void la raifon y la contra-dion des mufcles dans les efforts du faut roidit les articulations, & force chaque partie a rentrer dans fa place & a revenir a fa forme naturelle 5 les genoux ainfi forces fe portent done en S U R IA DANSE. 3°* dedans, ils reprennent leur volume y ce volume met u n obftacle aux batte-mens de Pentrechat ; plus ces partu fe joignent, plus celles qui leur font inferieures s'eloignent y les jambes ne pouvant ni battre ni croifer, reften comme immobiles au m o m e n t de Paction des genoux qui roulent defagrea-blement Pun fur Pautre, 8c Pentrechat n'e'tant ni coupe, nibattUy ni croifi par le bas, ne fauroit avoir la vitellc & le brillant qui en font le merite. Rien n'eft fi difficile a m o n fens que de mafquer nos defauts , fur - rout dans les inftants dune execution forte ou toute la machine eft ebranlee, ou elle recoit des fecoufles violentes & reiterees, 6c ou elle fe 1 mou. vements contraires6c a des efforts con-tinuels& multiplies. Si PArt peut alors |