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Show 4?o L E T T R E s *- fe donner la p e i n e d % e ^ eux-memes. •gmaux que ^ de la perfealon d u T fe J" ?**" *»** Element Jel ^^caparu faux, parce que tout ce qu'ils ont dit ne prefente qUe lestraits ^lafimpli, >nn'apc,ntvoulllcoJ, venir qu'il neralloit que dcPefprit pour '••e en pratique leurs confeils, peut. on avouer qu'on en manque?Eft.ilpoffi. ble de confelfer que Pon n'a point d'expreiTion , ce feroit convenir que Pon n'a point d'ame? O n dit bien:je n'ai point de poumons; mais je n'u jamais entendu dire: je n'ai pointd'en-rrailles. Les Danfeurs avouent quelque-fois S U R LA DANSE. 48* fois qu'ils n'ont point de vigueur,mais Ils n'ont pas la m e m e franchife lorf-qu'il eft queftion de parler de la fterilite de leur imagination y enfin les Maitres de Ballets articulent avec naivete qu'ils ne compofent pas vite 8c que leur m e tier les ennuye, mais ils ne convien-nent point qu'ils ennuyent a leur tour le Spedateur, qu'ils font froids, diffus y monorones, 8c qu'ils n'ont point de genie. Tels font, Monfieur ,1a plupart des h o m m e s qui fe livrent au Theatre; ils fe croient tous parfaits y auffi n'eft-ii pas etonnant que ceux qui fe font effor-ces de leur deffiller les yeux, fe degou-tent 8c fe repentent m e m e d'avoir rente leur guerifon. L'amour propre eft dans toutes les conditions 8c dans tous lesetatsun mal incurable. E n vain cherche-t-on a ra- Hh |