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Show 432 MR. J. B. SUTTON ON HYPERTROPHY. [May 5, prevaut. Ce sont le cas de la polyandrie, comme par exemple dans le genre Tumix, dont les femelles combattent pour la possession des males. Ici nous devons appliquer les remarques exposees plus haut aux femelles. Je suppose cependant avec Mr. Wallace, que dans plusieurs cas les couleurs temes des femelles doivent etre expliquees par le besoin de les proteger contre les attaques des ennemis ; mais seulement il ne faut pas regarder comme leurs ennemis les oiseaux de proie et les quadruples, mais aussi les males celibataires de la meme espece, et ce sont peut-etre les ennemis les plus redoutables. Dans les cas ou le dimorphisme sexuel est faiblement developpe et ne peut etre explique par la seule action de la selection naturelle, nous devons recourir a la loi de correlation de croissance, qui veut que certains changements dans la constitution de l'oiseau peut amener les changements dans differentes parties de son corps. Nous avons repete deja plusieurs fois, que le role des femelies chez les oiseaux est beaucoup plus difficile que celui des males, et que dans plusieurs cas cette circonstance peut retarder son developpement complet. On peut regarder la femelle dans ses formes exterieures comme un male non developpe. Si done nous prenons une espece dont la femelle possede une riche coloration du male, mais aux teintes un peu plus temes, comme parexemple dans le genrePharomacrus(unTrogomde), nous pouvons supposer que son developpement est retarde (ou plutot paralyse) par les difficultes surgis pendant l'epoque de reproduction, c'est a dire par la presence d'ovaire, qui exige une nutrition plus grande que les glandes males. Cette supposition se continue par le fait, que plusieurs femelles vieilles et malades, selon Darwin (et probablement qui ont perdu la fecondite), prennent les caracteres males, puisque leur developpement paralyse par les besognesmaternelles atteint son plus haut degre depuis que la cause principale est supprimee. 2. On Hypertrophy, and its Value in Evolution. By JOHN B L A N D SUTTON, F.R.C.S., Lecturer on Comparative Anatomy, Middlesex Hospital Medical College. [Eeceived March 23, 1885.] Every known vertebrate normally possesses two kidneys, a right and a left one. In the case of the Fowl, the left kidney of which is represented in the drawing exhibited (fig. 1, p. 433), the right kidney had, from some cause or other, entirely disappeared, nothing but the ureter remaining to inform us of the previous existence of the associated kidney. Such a case as this is by no means rare : it has been repeatedly observed in man. I have myself observed it in five instances in the human subject, also in sheep, oxen, horses, and twice in birds. It is not my intention to enter into details as to the cause of the disappearance of this kidney ; it has been satisfactorily explained |