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Show CHJlPITRE IV. LE ROMAN DE SALOMON SPAULDING. Source impure all vont puiser MM. Gucrs ct autres. - Ce que c'cst que Spaulding d'apres un auteur citC par eux. - DCclaration fausaement attribu6e il. Mme Davidson. - Interpolation frauduleuse de M. Guers.-Suppression adroitement faitc par M. Fnvez. - TCmoignage du professeur J.-D. Turner.- Leth·e e:draite du Quincy-WIIig, qui dement Ia prCtendue d6claration de Mme Davidson. - DCmcnti donne il. M. Guers par Ia Presse. - Etrangcs assertions de ?.f. Guers. - Elles sont dCmenties par le profcsseur Turner; par le doctcur Hulbert lui-meme. - Autre c::drait du professeur Turner.- Appreciation Jumincuse du Ncw- l'orkcr.Fourbcrie de nos ennemis dE?voil6e par M. Pichot. - M. Favcz accuse le Livre de Mormon de manquer d'homog6n6it.e. - Le contraire est prouve par Alexandre Campbell; par Ia Revue d'Erlimboury . - Mensongc Cvident du docteur John Thomas. - Pr6tendue cooperation do Sidney Rigdon au Livre de Mormon. - Preuvcs du contraire. - Extrait du Clt1'islain i'Uessenyer and Re{Onncr.- Autre preuve tir6c du profcsseur Turner.- Autre, tirlle dGl Campbell, associ6 de Sidney Rigdon dans Ia fondation de Ia secto des Campbellistes. - Lcs crreurs de nos adversaires sont inexcusables. Voyons mnintcnant comment nos cnnemis prouvent l'imposture du Livre de Mormon. Lnissons pal'ler 111. Guors: LE ROMAN DE SALOliON SPAULDING . 75 11. l:Tn pasteur amCricain, M. Salomon Spaulding, exerc;ait son ministt! ro ia. New-Salem, Etat d'Ohio. C'6tait un homme d'une imagination vive, et passionn6 d'arcb6ologio. L'affaiblissement de sa sante J'ayant force de rcnonccr n ses fonctions pastorales, it r6solut de se livrcr It des travau.."t lit!Craires. » ( p. 62.) Nous devons ici a nos lccteurs uno revelation, et a M~l. Guers et Favcz uno petite represaille. Pour no us libCrcr envers chacon, nous dirons que Ia source impure oU nos adversnircs ont puis6 uno partie des calomnics qu' ils prodiguent a J. Smith et a ses frercs, est un roman du capit. aine Marryat, intitult': : M. Violette, ou voyage d'unjeune emigre franrais , etc .• Dans uue discussion qu' ils disent serieuse, des ecciCsiastiques vont sc renscigner IU I... Nous ne dirons rien de plus; sinon.que Bowes, autre prt':dica teur, n'a pas fait autrement. Dicu leur pardonne ;) taus ! La reprCsai llc, la voici. Ace portrait du ministre Spaulding, trace par ro ministre Guers avec tousles t':ga rds qu'on so doit entre confreres, nous opposons celui qu'on va lire ; mais nous avons la f1·ancbise d'avouer que nous prenons cette se·ule citation ... au m~me roman que cos messieurs n'ont pas crnint de mettro souvent a contribution : • II y a nombre d'nnn6es, vivait un hom me du Connecticut, nomme Salomon Spaulding, parent de l'inventeur des noi:t muscade11 1 On peutjuger de Ia valeur des assertions rcnfcrmecs dans l'ouvrage du capitaine i\farryat par les !ignes qui sui vent; 11. M. Combe, d'Edimbourg, dans !'introduction il deB notes sur lcs Eta.ts-Unis de !'Amerique du Nord, page XI, assure que miss Martineau et le capitaine Marry at ont Cte abuses pnr les America ins pendant qu'ils recueillaient des materiaux pour leu rs ouvrages. La personne qui a t'!ga rC le capitaine s'en vante a scs amis et leur assure qu'elle lui a rempli ( cn~tnmr. d ) Ia t~te des histoires les plus ridicules (Joe )tillers ), que Ic capitaine a prises au serieux et introduites dans ses ouvrages comme types des mceurs am6ricaines. :t (Logic of facts, p. 36. Holyoake, London. ) |