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Show *7& LE CHARME F A B R I C E. Ie crains en ^^t^*' Ilfautsenrierlec^r^^l/:^ Ton feu n'iroit pas loin auant que de s'efteind, T u m e plains des foupirs? £' F A B R I C E , Mais j en voudrois auoir ma quittance au pluft" Et pour n en receuoir ny reproche ny home, ' N eftre oblige qu'aranr, &les fournirparconw L A V R E . r" T u les ferois reduire auant que le fournir F A B R I C E . ] Va, fi ie promets peu 5 c'eft afin de tenir, Vois-tu bien, ie fuis franc. L A V R E . Done en toute franchiie D y m o y quels fentimens le D u e a pour Fenife, N'eft-ceplus pour fa voix... F A B R I C E . Q u e ru le bailies doux! Mais les voicy rous deux qui s'en viennentanous, Difpofc ta Maiftrefle a mieux traiter fa name. a DE LA VOIX. *7> I, i • - - - - ~ ~ - ^ - - - - - - ^ - ^ SCENE V IE DVC , LA DVCHESSE, LAVRE, FABRICE-j LA DVCHESSE. O V o y , Seigneur, jufqu'icy3 L E D V C. Me fuyez-vous, Madame, [teardez-vous vn coeur allez indifferent Pourrefufer mes foins quad F A m o u r vous les red? LA DVCHESSE. Hon procede n'a rien qui vous doiue deplaire, Iene tache a vous fui'r que pour vous farisfaire, Et comme on fouffre a voir vn objet odieux, Ten voudrois efpargner la conrrainte a vos yeux, L E D V C. Oiimereduifez-vous, fi d'vnpareil ourrage Vos mepris de mes vceux ofenr payer F h o m m a g e > Depuis que voftre voix m'a conrrainr aux foupirs Le defir de vous plaire a fait tous m e s defirs, Et quand il vous fair voir jufqu au fonds de m on ame, Vne injufte rigueur eft le prix de m a flame, Helas! F A B R I C E au Due. Si vous voulez reiiiiir cerre fois, Parlez de la beaure pluftoft que de la voix, lay bien menty pour vous. V » •»• u 111J |