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Show ip* L E F E I N T L e parjure au mepris de rant de vceuxofTerts D'vne beaute nouuelle ofe porrcr les fers Ceftpourelleaujourd'huyqu'aMadrid^^^ I ay i$eu tout le detail de certe amour fecrete Et que les^ Aftres foils a qui voiis command^ Sont les tcmoins du feu dont ils fontpoftdez Puifqu'a voftre fcience il n'eft rien d'irr.poffible E m p e k h e z ce comerce a m o n cceur tropfenfible R o m p e z les triftes nceuds de cet attacheinenr A u x yeux qui font furpris derobez mon Amanr, Faitcs qu'il fe repente, 6c que pour mavangeait M a R i u a l e a fon tour pleure fon inconftancc D, F E R N A N D. A y e z de voftre A m a n t des fentimens meilleurs, O n vous trope fans doure, il n'aime pointailleun, Er quoy qu'il foit vn peu blamable en fa conduite, D u fujet qui Farrefte o n vous a mal inftruite; V o u s en eftes la caufe, 6c fon efprit jaloux A voulu fe guerir en fe cachant de vous, Pour vous faire obferuerila feint ce voyage; Mais, M a d a m e , ceffezd'en auoir de Fombrage, C a r enfin il vous aime, 6c toute fa rigueur Affeure a vos beaurez Fernpire de fon cceur, D'vn faux mepris peut-eftre il couurira fa flame, Mais quoy qu'il diilimule, il vous adore en fame. L E O N O R . Agreable affeurance ! helas, pardonne-moy. Si j'ay pu , D . Iuan , faire outrage a ta foy. L e Ciel, 6 D.Fernand , vous foit toujourspwpfo Adieu. SCENE r ASTROLOGVE. 193 "SCENE VUT D. FERNAND, D. L O V YS, D. LOVYS. JLJA pauure Dame eft toute fans malice, Et de voftre reponfe a grande jove au coeur. D. FERNAND. Sa priere a ce coup ne m'a poinr fait de peur, Etiemedoutoisbien, c o m m e elle eft fort credule, Qu'elle prendroit foudain vn efpoir ridicule. Me voicy libre enfin. D. L O V Y S. N o n pas trop libre encor* Etquelqu'vn.... D. FERNAND. A h , c'eft la bien pis que Leonor. i« Part. N |
