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Show *8* D. BERTRAN, EtS.lUu:r xer ; : echc j n ne a v pa ^ e. • • C- v 2 M A Nir *. ^ b -~ -a Qjtelqu'i n n JL: atoit^&j ay trahynuflaffie A:: ^ T. A L V A R. Necraig ;: .: eft D . Aluar,Madame. I S ' : : L L : , DE I R. urcz va rnalheoretrx amant C :xop cnic] poortint obftincznen: ErquipreAde\^«sperdre,enibnmalhcarcsr: Sc croir* foihug? s ii voas it qa ii TOUS aime. Ceroibicilk^^emdamvncr^ddepbiiir N ^f^tcooftcrtoat^pLas^Woqir. 1 S A B A R. Ea&a,\l*iar M o n asooor c* trap par poor fc wakxrcoot: d. r . v^ja hft^asc lias e^oor p a s fern ic&ducr, L&pst$ afcptt [ COMEDIE. 58$ Cependant en fecret m o n coeur porte vos fers, Er quand ie vous retrouue aufli-roft ie vous perds. 0 fortune obftinee a trauerfer m a joye! Acombiendedouleurs mers-tu m o n a m e en proye? IS A B ELLE. N'accufez aujourd'huy la fortune de rien, Ce n'eft qu'aux malheureux que la plainte fied bien. Icne celeray point que voftre amour m e touche Puifque vous auez pu f apprendre de m a bouche, Er que par cet adueu qui rend mes fens confus Mesderniers fentimens vous font aflez connus. CclTezdonc de pleurer m a perte imaginaire, knedepens point tant des volontez d'vn pere Qu'ecourant vn deuoir a m o n repos fatal, Icmelaiflecontraindre a Famour d'vn brutal. Mon coeur, duft-il fouffrir vne peine infinie, Spura fe derober a cette tyrannic; Maisie decouure trop dans ce trifte reuers Pourquoy vous m e perdez 8c pourquoy ie vous peds, Vous aimcz Leonor, Leonor vous engage, Elleieule aujourd'huy charme voftre courage, & ie ne puis pretendrc a m'acquerir vn coeu*r kin reconnoit les loix d'vn plus noble vainquepr. p D. A L V A R. larcejalouxfoupcon, allez, aUez, Madame, Au deuant de celuy qui regne dans mon ame. *n, ; I S A B E L L E. ,?U ]°US Poum)it venir ^ fentiment jaloux VS?nd ie romps vn H y m e n feul a craindre pour vous ? r |