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Show **4 to. BERTRAN, T°Utbtent dan$ ^ §rand P°'me admirablc^nt GVZMAN. Iamaisaupr^s de vous Lope n y connutrien D. BERTRAN. Aufli iamais trauail ne m e fit tant de peine; Mais pour venir aufait, dans la premiere Scene Ie fais entrer Herode 8c rrois cens Innocens G V Z M A N . D e u x vers a. chacun d'eux, e'en font defia fix cens Pour peu qu'Herode encore ait auec luy de pages L e theatre eft remply d'alTez de perfonnages, L a feconde ? Sortez. // dit ce dernier mot a D. ^luar qui pmi auec lacinte a la porte d7 ifabelle, D. B E R T R A N. Qui viens-tu d'aduertir? G V Z M A N . Ie parle aux Innocens pour les faire fortir, Ils tiennent trop de place. Enfin,dans la feconde? D. BERTRAN. Ie fais dans celle-la le plus beau trait du mondc, A u point que le Tyran les condamne a la moru Comme P. ^luar eft a demy forty de U cbdmhre/^ belle , D. Bertran detourne la tejle, ttf*m§ D. ytiuard'y rentrer, & V. Bertran conttM. Mais qu'eft-ce-cy ? ie vois ce qui m e deplaiftfort. D. A L V A R Had**. Ferme vifte. D. BERTRAN. A h , vraiment, m a maiftrefle m ami, Ie vous faifois grad tort de vous croire endormie. CO M E D I E." *>J G V Z M A N. Qu'auez-Vous veu, Monfieur? *T D. BERTRAN. Vn homme feuiement Qu'Ifabelle en fa ehambre enferme galamment, II alloit s'echaper quand j'ay tourne la tefte. Tiens en main comme moy la dague route prefte, Ie luy veux tout au moins couper jarribes 8c bras. Ouurez, ouurez, vous dis-ie, ou ie mets porte bas. I A C I N T E dedans. Qui frape ? D. B E R T R A N. M o y , mary de fabrique nouuelle. Jjabelle fort de fa ehambre auec lacinte e\ui tient de la lumiere. SCENE VI D. BERTR AN, ISABELLE, IACINTE, GVZMAN. D. BERTRAN. V O u s ne donniez done pas, Ifabelle la belle? I S A B E L L E . Quoy, Fepee en la main ! que veut dire cecv > D. BERTRAN. Auec malm vouloir ie metranfpotte icy. Vous ne dotmiez done pas > I S A B E L L E . Que me voulez-vous dire? T iiij |