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Show 2ca LE F E I NT T, A P"ILIPIN^^«V II turbra de m o y ians employer m o n maiftre T e n f$ay trop pour cela, ie t'y feray porter ' D. F E R N A N D. endoce , pour ce foir va toujours t'aprefter Philipin aura foin de ce qu'il faudra faire M E N D O C E. Monfieur, ie m'en defie. D. FERNAND. Il n'ofe m e deplaire, ipprehende rien. D. LOVYS. Il eft tout fatisfait. D. F E R N A N D. Ions en rire v n peu dedans m o n cabinet. k pbdtpin. quelqu'vn m e demande, SCENE XII MENDO CE5 PHILIPIN. MENDOC E. F A v pour rr - e qu'il faut, ton maiftre le com m a n d e, nciles done aufli de fon metier) PHILIPIN. Depuis que ie le fats, ie fuis demy Sorcier, r MENDOCE. \U;s wit-.. .: i.aaMl '• ASTROLOGVE. 203 ! PHILIPIN. Plus qu'on ne s'imagine; C'eft vn terrible efprir. M E N D O C E. Hen a bien la mine* PHILIPIN. On diroit a Foiiyr quand il parle d'autruy, Qu'il lit dedans les coeurs, ou le Diable pour luy. ^ MENDOCE. Qu'vn valet eft a plaindre auec rel perfonnage 1 Ainfi fiquelquefois allant faire vn melFage Vn amy par hazard te vienr prendre en defaut, Er t'oblige a tarder vn peu plus qu'il ne faut, Tu n'ofes luy donner certe bourde legere: It Counter eft "^enuplm tardea I'ordinaire', fty long-temps attendu que Monfieur eufl ecriU {AJ l>m cheile Tailleur s'il faifoit ")>oftre habit, Etce que nous fournit en diuerfe rencontre Lapeur d'eftre chaflez, ou de receuoir montre} Pour moy, ie gueuferois plutoft que confentir A faire choix d'vn maiftre a qui n'ofer mentir. PHILIPIN. D'abord ainfi q u a toy cela m'eftoit bien rude, Mais on fe fait a tout auec vn peu d'etude. M E N D O C E . Tu n'oferois d'ailleurs , quoy qu'auec gens dif-crets, Ny medire de luy, ny comer ks fecrets, Ous'il arriue enfin quand fa bile le prefle Qu'abons coups de bafton il te falTe carreffc, w peut de pis encor il te faut filer doux, tc ians pfer t'en plaindre aualer ton couroux* |
