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Show *16 D. BERTRAN, D. F E L I X. M;iis... D. B E R T R A N. Mais, ne vous depkife D. F E L 1 X. r Ie voushonore aflez... D. BERTRAN. Etbien, j'en fuis fort aife, D. FELIX. Vous pourriez aujourd'huy m e refufer ce point, A m o y qui... D. B E R T R A N. A vous qui, ie ne vous connois point. D. FELIX. I'eftois fort grand amy de Monfieur voftre pere, Il m'eltimoit beaucoup. D. B E R T R A N. Ie n'y f^aurois que faire, Il pria qui luy plut quand il fe maria, Mais de fon remps au mien grand changementy33 Pouruoyez-vous ailleurs. D, FELIX. Quelle eftrangefaillie! M E N D O C E . Ie Fenuoyerois au Diable auecque fafolie. D. F E L I X. Adieu, necraignezpoint que iefuiuevospas. D. BERTRAN. N e m e voyez iamais, ie n'en pleureraypas. COMEDIE. 277 SCENE V D. GARCIE, D. BERTR AN, D.ALVAR,ISABELLE, LEONOR, IACINTE, GVZMAN. D D. B E R T R A N. E pareils eftafiers le quart d'vne douzainc A defenfler m a bourfe auroit bien peu de peine. Ou Diable celuy-cy s'eft-il venu fourrer? Seprierdemanopceafin des'y bonrrer! Ils'eltbienadrefle pour renconrrer fa dupe; Mais comme il fe fait tard, vn autre foin m'occnpc, Dequoy fouperons-nous?Ma maiftrefle,allons voir Si fhofte a quelque chofe a nous donner ce foir, Nous choiiirons enfemble vn morceau de regale, Venez. // luy prefente fa main fans (rand. ISABELLE. Ah! D. BERTRAN. T <u x1 C e n'c f t r i c n»c c n'cft qu'vn pea de gale. c tache a luy joiier pourtant d'vn mauuais tour, emefrotted'onguent cinqou fix fois par iour, m S T ^ ' ^oy.mefme j en f^ay faire, Mais elle eft a Fepreuue, 8c c o m m e hereditaire, nous auons lignee elle en pourra tenir, (nL Wonpere en m o n jcune age eut foin de m'en fonr- S iij |