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Show 2?$ *>. B E R T R AN D. BERTRAN. ' M o n coufin m o n a m y , vous n'eftes quvn pendltt a ifabelle. Q u e faifoit-il icy ? parlez, la fine m o U c h e D. ALVAR. L e foin de voftre honneur c o m m e parent me ton. Et pour y regarder ie me cachois expres. D. BERTRAN. Diable, vous y venez regarder de bien pres, C'eft d o n e pour m o n honneur ? D, FELlXiD.A, Vous Fa-t'on mis en garde! D . B E R T R A N fe detournant tout A liers D. Felix. D e q u o y vous meilez-vous ? ie veux qu'il y regarde, Qu'il en prenne le foin quand bon luy femblen, Et malgre tout le m o n d e il y regardera. D. FELIX. N e vous plaignez done point de voir.., D, BERTRAN. Ie veux m e plaindre, Pour h o m e tel que vous iedois peumecotraindrt, D. FELIX. Scachez done... D. BERTRAN. C o m m a n d e z de grace a ^os valets, Aliez vous-en dormir, 8c nous lailTez en paix, D. F E L I X a Mendoce Viens, ie renonce enfin a Famour ^'Ifabelle. D a n s fa ehambre vn galant, de nuit! ah Finhdciu. Laiiions, billons au Ciel le foin de lapunu. C O M E D I E, G V Z M A N. 29? }1 fort. D. BERTRAN. Qu'il aille au Diable, & fans en reuenir. SCENE VIII P. BERTRAN , D. A LVAR, ISABELLE, LEONOR, IACINTE,GVZMAN. LEONOR. N E rn apprendrez-vous point quel eft tout ce myftere? D. BERTRAN. p . Aluar mieux que m o y pourra vous fatisfaire. LEONOR. O u Faue?-vous trouue ? D. BERTRAN. Ie Fay furpris icy, II y vient pour m o n conte. L E O N O R . Et pour le fien aufli, Jl vient voir Ifabelle, il Faime. D. BERTRAN. II faut le croire, Uu qu'il venoit encor luy conter quelque hiftoire. A ces contes en Fair fon cceur s'epanouit. Helas , v n ' P L E Q ? 0 R {'WW* [** Gutyan, neias,ien en puis plus. * |