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Show i8<s LE FEINT I A C I N T E cacbee. Q u e i e crains que ce fpectre, oubien pluftoft ce Diable Nemeviennecherciier jufques fous cette tabic! D. IVAN. Quelle confufion, 6c quel charme eft-ce-cy! Leonor , c'eft done m o y que vous traitez ainfi? : Moy,qui viens tout cypres vous donner afteurance Q u e fur m o n coeur vous feule auez toute puif, lance ? L E O N O R fuyant toujours. Zy renonce, a mes yeux en vain tu viens t'offrir, C'eft le vray D . Iuan que foul ie puis fouffnr. D . I V A N . (famTe, Ie fuis toujours le m e f m e , & m a foy n'eft point ' L E O N O R. Fantome, lahfe-moy, retourne iSarragoee. Elle fe retire dans ">» petit cabinet dent tit ferme la porte. D. I V A N . , E h de -race , ecoutez mes raifons de pins pies. Leonol Eft-cefeinte, eft-ce jcufe* express Q u e fais-tu la £ « M f c l ^ ^ ^ defom'UtMe^ellefMtmh met U lumiere qui s'eftetnt. A faide, ie fuis mortc, C'cn eft fait. ; , XT f , £) i V A N jettl- Qvii'iamaisfutrcceudelafotte! Av-ie perdu l'dpnt?fois-iemoy-me.meenco1 f a d t l a m ' e c U e r oblige Leonor. A S T R O L O G ' V E ; 181 Leonor. LVne Sc 1'autre eft fourde a mapriere, Sonne ne repond, & ie fuis fans lumiere. £ la peat obligee* ie cachet depioyr S-ce haine ? eft-ce horreur pour m o n m a n q u e de foy5 In quels doutes m o n a m e cft-elle enfeuelie » N'importc, laiilbns-la joiiir de fa lohe, Etcependant allons a fautre rendez-vous Tidier d'y receuoir vn traitement plus doux. Fin du tro'ifieme AEle. M iij |