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Show 38* V A M 0 V R ORONTE. Elle eft veftue en D a m e ! CLI'TO N. c u u u- *, Amonplusgrandrecrret SesbeauxhabirsMonfieur^angetrnonpet^ fct c o m e a plus tournir m a bourfe eft ^ulement ellefe ORONTE. P^it fait, * iropuiffante D aujourd'huy feuiement ellefert deTuiuante, Chez qui ? C L I T O N. C'eft donr ce foir ie dois eftre aducnv; II eft b o n cependant que vous preniez party, C a r fi tout voftre efpoir en Lyfetre fe fonde, Soyez feur q u e pour vous il n'en eftplus aumonde, Voftre coeur eft vacanr, 3c par prouifion V o u s le pouuez lo'uer s'il s'offre occaiiori. O R O N T E . Malgre le rude coup que ce fuccez luy porte, T u le verras bien-roft brigue de bonne forte. C L I T O N . ' Il peur de mille vaeux fe voir importune, Mais qui n'en croira rienne fera pas damne. N e me vanrez plus rant deformais vos adrelfes, Ce matin mefme encor vous contiez trois raai-ftrefles Qu'il fembloit que pour vous FAmour poullalt a bour, Et voila qu'vn moment a fair rafle de tout. O R O N T E . II n e faut pas toujours jugec fut Fapparenee. C L I T O N. V o u s faires bien, Monfieur, de Yiure d'elperance, A LA MODE. .383 » .Ifemblele^eraquis'enpeutnoumr. Tout mall e m b l c ^ R 0 jlj T E. E, q„e pour«.«.« »* ^ i0 fon> Mais chez moy pour Erafte il faut aller ecrne, VknS- CLITON. Vous vaincrez par tout fi ie m'y connois bien. O R O N T E. Laiffe faire Ie temps, &c ne jure de rien. Tin da premier Atte. |