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Show tf»8 LE CHARME Les bleflures qu'ils font font de meilleur alov Et s'il faut en mourir, au moins fcait-on pour quoy. " L E DVC. Tay-toy, j'entens marcher,on vient a nous, ecoute F A B R I C E . Retirons-nous icy, c'eft Fenife fans doute, Sans nous montrer fi-toft, laiflbns-la s'auancer L E D V C. Ie crains... F A B R I C E . Quoy ? les regards qu'elle va vous lancer? Pour les rendres de coeur lablcflure eft malfaine. •A^ SCENE II LE DVC, FENlSE, LAVRE, FABRICL FENI SEi lame, A S - t u remis ce Lut? L A V R E . N'en foyez point en peine, L E D V C. R egarde, admire, voy, Fabrice, quel eclat! Qui n'en feroit charme ? ^~ FABRICE. Taftez,le coeur vous bat? Maisas-tuveuiaLsbeauteplusfui^nante? DE LA VOIX; 6*9 FABRICE. Mafov ic n'en fcay rien , j'oeillade la Suiuarite, ^ Come elle eft plus m o n fait, elle eft plus a m o n gre. F E N I S Erf Laure. pieux! comment jufqu'icy le Due eft-il entre? Felons grande furprife. S L E D V C i Fenife. Enfin, iepuis, Madame.,* F E N I S E, Ah'Laure, ou fommes nous ? F A B R I C E 4 » Due. Couchez vifte de flame. LE DVC. Nevous ofFcncez pas... F E N I S E. Allons, Laure. F A B R I C E I'arreflant. Ah ! tout doux. La belle, c'eft le Due. F E N I S E. Que voudroir-il denous? L E D V C. Enpouuez-vous dourer fi vous eftes Fenife? F E N I S E. L'crrcur qui vous abufe augmentc rna furprife. Moy,Fenife ? Ah, Seigneur, j'ay quelque vanire De voir a cette erreur voftre efprit emporte, tuepuisdeformaisme vanter d'eftre belle qu'au moins a vos yeux j'ay pu pafler pour elle. L E D V C. N W » VOUS nefeftes point? Puis R r iij |