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Show 44 LES ENGAGEMENS ^^^^^•^^•^•^ ^ f t m^m"^***mmem^m» k « n M « a M M ^ ^ SCENET D. CESAR, D. FADRIOVF CLARIN. ^ J C LARIN. A 2. A.H malheureux! D. FADRI QV E. _ Qu'as-tu? C L A R I N . ^* Les marques feutement d'auoir efte batu. Quelle commiflion ! D. C E S A R. Cher a m y , ie te prie , Aujourd'huy feulement trcfve de raillerie. As-tu veu Beatrix ? C L A R I N . Ah, Monfieur, j'ay veu mieux, Et mon dos peut parler de ce qu'ont veu mes yeux. lay veu.... D. C E S A R . Dy-vifte, enfin ? D. F A D R I Q^V E. Qu'as tu veu, miferable? C L A R I N . Laiflez-moy refpirer; j'ay veu, ie penfe, vn Diable, V n certain D . Felix, qui d'abord franc & net M'eft venu regaler d'vn aflTez grand foufflet. D. F A D R I Q J E. V n foufflet! & ie puis endurer cette honte? le croy que Car qua py HAZARD. C L A R I N. _ le foufflet eftoit pour voftre conte, rid m a langue en fuite a voulu s'egayer 45 En petite monnoye il m'a bien fceu payer C'eifpourtantvn, ouydea.c'eftvn "l•e«n of e dire, Et ton D. C E S A R Billet? C L A R I N. Luy-mefmc il a voulu le lire< D. FADRIQVE. Ft tu hs confenty fort amiablement? C L A R I N . Qu'eufTay-ie fait, Monfieur?il eft fans compliment, Ceftoit par charite ce qu'il en vouloit faire. Ah fi j'eulle eu le don de m e mettre en colere! D. F A D R I QJV E. Il t'a connu pour eftre a m o y , traiftre, il Fa fceu } CLARIN. Celt pour cela, Monfieur, qu'il m'a fi bien receu. D. C E S A R. Quoy, tu Fas pu n o m m e r ? C L A R I N. Nommer, ou non, qu'importe? Neconnoift-on pas bien les couleurs que ie porte? HmecroitfDo.n FRi ual R I Q V E C L A R I N, Son Riual ? mille fois, D. C E S A R. Et pour le detromper tu n'as point eu de voix i C L A R I N . Jay parle, j'ay crie, mais il eft fi farouche, ^ a m e s depens trois fois il m/aferme labouch |
