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Show m n[\. LA DANSE lendemain doivent jouer des scenes cpisodiques dans les rues, telles que Zeis Razcassetes, Lou Jue d'oou Cat, Leis Tirassouns, etc., les grands danseurs, les petits danseurs, les baton-niers, et les troupes reglees que la ville d'Aix avait en disponibilile. Le roi Rene perdit beaucoup de bataiiles, il est vrai; mais aucun general ne sut mieux organiser une promenade religieuse, te-lnoin ce couplet d'une ballade tres-connue dans le Midi : Mais le clairon se fait entendre, Tous se preparent aux combats. Au champ d'honneur on va se rendre; Rene harangue ses soldats. a Enfans cheris de la victoire, a Fiers soutiens de la nation, G Souvenez-vous de votre gloire ! « Marchons, amis,... a la procession. » Quelques details sur ces jeux ne se-ront peut-etre pas sans interet pour me-s lecteurs. •-'•" • •..: ,1 | ET LES BALLETS. ^5 Des diables a longues comes, avec des masques hideux, couverts d'une ja-quette noire a flammes rouges, ou pend une centaine de clochettes, tourmen-tent le roi Herode. Une grande dia-blessefait partiede la troupe dansante. Herode pare les coups de fourche avec son sceptre, se demene c o m m e un pos-sede pour eviter de nombreux adver-saires, et leur echappe enfiu en saulant hors du cercle qu'ils forment autour de lui. Tel est le grand jeu des diables. D'autres demons, non moins horribles, s'efforcent d'eniever une ame protegee par son ange gardien. lis saisissent Varmetto, animula, tandis qu'un de leurs compagnons frappe sur le dos de Pange a coups de massue ; mais le pro-tecteur celeste a pour cuirasse une plan-che et des coussins. La dispute finit bientot; le bon g^nie triomphe et saute de joie d'avoir sauve la petite a m e corr |