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Show *i« LA F O I RE A R L E Q U I N . II ne m e refte plus a voir que ce quartier-ci. L A F E' E. C e n'eft pas le plus mal fourni.. A R L E Q U I N . Voyons. (il lit) Efprit. . L A FE' E. O h ! pour de l'Efprit, cela ne t'acommcK dera pas non plus. Perfonnenecroit en avoir befoin. A R L E Q U I N . L a Fee qui le diftribue a bien Fair de per-dre fon etalage. L A F E' E« Choifis autre chofe. ARLEQUIN, llfant. Valeur. L A F E' E. Cela te convient-il? A R L E Q U LN. Nullement. J'aime mieux refter poltran. L a Valeur nous fait chercher le danger, & la D E S FE'E S. 31^ la Poltronnerie nous porte a l'eviter. L A FE'E. Tuaimeras, peut-etre , mieux*la Science'1. A R L E Q U I N . La Science?' N o n . Mauvaifc marchandi-fe encore. L A FE'E. Quoi! tu ne ferois pas bien-aife d'avoir la memoire orne*e d'une infinite' de chofes cu-rieufes ? A R L E Q U I N.: A quoi cela fert-il? L A F E' E. A faire briller un h o m m e dans les CafTez: A donner des dementis a de Faux-favans, qui hazardent des citations & des dpoques. O n diroit de toi: C'eft un puits d'erudition! A R L E Q U I N . U n puit» d'eau toute claire. L A FE' E. A quoi veux-tu donc te de'terminer ?' S6 AR- |