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Show »/* L E J E U N E. // chante. AIR 139. Chersamis, rtfj oui lions-nous, Faifons les foul: litre fou, & fe re>u'ir ? Cell £tre fage; Eftrc fage fans fe rdjourr,. C'eft £tre fou. bis, \ A D I S . T a gayetc* naturelle nous ftra d'un grifii ftcours pour divertir Farzana. TORGUT. Je vous en re'pons! J'en ai bien direrti <f autres. ADIS. Je la vois qui s'avance. T&chc de la de-fennuyer, pendant que je vais dans cette prairie lui cueillir des fleurs. S C E N E v. TORGUT, FARZANA. TORGUT. Allons, Madame , contre fortune bon cetor. VIEILLARD. \n „,„, N'engcndrez point de m^ancoMe. S i -vous aufoin que jc vais prendre d« VOUJ amufer. F A R Z A N A , foupiranu Ahi! T O R G U T , chant ant. AiR no.Oepaffelanmt&lejour.)' A table le verre a la main, Je fais le plailir des bons Driik : Jc prens un air de fagotin, Lors que je fuis avec les fillet j S'agu-H defetrcmouffer? Je fuis toujours pr£t a dunfer, Pret a danfer, Pret a danfer, Je fuis toujours pret a danfer. F A R Z A N A* Quelle gayetc'! T OR GUT.' Kions,chantons, danfons,faifons ripaiflegf-c'eft le moyen de trouver I'anne'e courte* F A R Z A N A. Tu paries bien a ton aife, Torgut. L9a-; mour , ace que je vois, ne te fait gue re fe tint iespeines. **h«*2 G s T-O-RT |