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Show 32-i L A F O R C E S P I N E T T E , interrompavi Vdmn. Retircz-vous } m o n j p ^ (cUmfn.) a Ltzao. Adieu , fils dc Miniftre. Si tu juges que ta Confine doit dcdaigncr unEgy^tientdquc mon Frere, appren qu'unc Egyptienne telle que moi te meprile a fon tour, (elk xek fe rether.) L E ' L I O , Varrctant.. Dcmeurez. S P I N E TT E. N e m'arretez point. LE'LI O. je ne puis m e refoudre a vous percre, ARLEQUIN, basd Lelio. Qu'allez vous faire? S P LN'ET TE, Je ne vous ecoute plus. L E' LI O. Je m e rens. S P I N E T T E . -.VftcreCoufinc vous dear trop au ceerjrj L E V D E' L' A M O U R. 3*3 LE'LIO. Je vous Pabandonne. Je foufcris a tout. A R L E Q U I N , rcmettantfonhabit. Te n'ai qu'a remettre mon habit. S P I N E T T E . Allons done conccrter enfemble ce qu'il ; faut faire pourrtiifiir dans cette eiureprife. (Elle fort.) - L E ' L I O , lafmvant. O force de 1'amour! A R L E Q U I N ; O la poule mouillee! S C E N E VIIL-ARLEQUIN, feul. Miserable Lelio ! Dans quelled paresf ctcs-vous tombe ? C'en eft fait , il a perdu. Pefprit.... Mais toi, Arlequin, en bonne fei , es-tu plus raifonnable que ton Mai-tre ? Encore rnoins. L'amour Paveugle, 0 6 lui y |