OCR Text |
Show ii» LE J E U N E NOUR. Ma cherc Mere, tronvena-vous 5 rtdire aox tendres mouvctnens que j'ofc laiffer i- Cnapper ? MULKARA. Au centraire, mon Enfant. Quemapre*- fence ne vous gene point; debondez votre cceur. ARLEQUIN, a part, fefrotant les mains. Cela va tout feul. NOUR, s'approchant d'Adis. Ah! Seigneur, puisqu'uneMdre veutbien 49>e je m'explique librement, je vous avow-rai que je fens pour vous ce que.je n'ai ja* mais fenti pour aucun homme. Arlequin, pendant que Nourparle, tourne au* tour d'Adis, f examine & le tdte. A D I S. Quoi ! malgre mes rides & ma decrepitude. ... r NOUR. treV°nnaoV-e^UUC *a7ct* qui les faitdifparo?- ere. u n air de propretC, un certain je ne fai quoi V-iE I L L A R D . WJ f0Oircpamlu dans route voire perfQnne,fair. toblier votre age. ARLEQUIN, apart. Ouais! rien tie vient encore! Ellea, peut* Iter, vrngt ans pailezi MULKARA, a Arlequin. Elle n'en a pas encore dix-huit. N OU R, careffant Adis. Mon chcr Papa , que je vous aime deja! Que j'ald'impatience d'etre votre femme! ARLEQUIN, a Adis. Oh ! apres cela, vous devez fentir du chan-gc- ment- A D I S, imu. He, mais... Regardc-moi. Ilmefemble que.., je commence.... & prendre.... A R L E Q U 1N, auffi imu, b5 lui touchant la bar be, Oui, vraiment... Tenez... votre barbe branle. V i m ? ... Mais pas eacore. (.* 2Vw*r.) Gontinuez, continucz. NOURi |