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Show H4 LE J E U NE ADIS. Dans quel embaras me mettcz-vous! FARZAN A. Eh ! qui ne vous e*cufera pas devoir &> crlfle* I'amftie* il'amour? Croyex-md, mon cherAdlf, profitoni de riibfencedcCanfou; courons' nous cmbarqucr avec fes treTors ;al- Joas chercher un afile 06 nousnefoyonsoc-cupcz que du plaiiir de nous aimer. ADIS. Que me propofefc-vous! Quand jc ferois capable de payer d'une fi noire ingratitude la conflancc « les bien-faits dtameilTeurdctpuf les Mattres, penfez-vous que notre crime pdt demeurer impuni ? Dans quel lieu de la terre ferions-nous a couvcrt de fon jufteref-fentimciu ? FARZANA. Ah ! Cruel. tu n'altnet point Farwma! Que dis-ie ? T u m e d&eftes, puis que la mintc d'un pciil eloignc pcut balancer un moment le bonheur de vivre avec ADIS, V I E 1 L L A R D . 163 ADIS. Cc n'eft point le pCrfl qui rn'etonne, c'eft ia ^ h fon Si vous aimex Ad.s, fa gloire 0 S t r e ehere. Serok-il digne de vous, W v S l i c i droits les plus facrex? k M en vous meme, Farxana, fonge* quevoUl d* vu tout a Canlbu. F A RZ A <N A, findant en f leurs, Que je fuis malbeurcufe! ADIS. Pourqaoi faut-il que mon honneur & mon devoir ne m e permettent pas d'etre a vous. J'atefte le Ciel que je prejfdrerois un lort i\ doiix a tous les Empires du monde. FARZANA. Vous voulex done , Barbare , toir p<frk Farzana? En cet endroitCanfouparoitavecTorgut, quh hi fait remarquer Adis auxgenoux dc farzana, A D1S, fi mettant a genoux & tenant la main de Far tana, C'eft moi, Madame , c'eft moi que vous fcra mourir , 0 vous rejettex m a priere, Cu vous |