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Show 2*4 LI J E D NE * Canfou. m Mais, Seigneur Canfou, n'avons-nous fien a craindre dans ce Palais? CANSOU. Non, vous £tes en furetcf avec moi Je veux fervir de Pcre a Cadige, & je Tunis des ce moment avec Adis. Que mes G ernes & mes Gines eelebrent cet Rimencc. Apres quoi je vous ferai tranfporter tous trois chez moi, Ou je pretens pailer avec vous 1c refte denies jours. Les Genies y les Gines for ment une Danfe cpni eft coupe'e par les deux Ainjuivans. UN G E' N I £, AI R 147. ( De Mr. Mouret.) C'e(t_quelque~fois le malheur meme Qui nous conduit au comblcdenosvoeux: Jamais Adis n'aurolt vu ce qu'il aime, S'il n'eut pas ct6 malheureux. C'eft quelque-fois le malheur meme Qui nous conduit au comblede nos vceux. UNE G I N E. A I R l48. (De Mr. Mourct.) Puiulez-vou.s, tendres Amans, Jouir d'un bonheur tranquile! Puifiex- V I E I L L A R D - *i Puiffiex-vous.dansvos.ieuxans, Avoir le gout de cette Ifle! 0nrfj>rt»d la Danfe, &$&**" Vaudeville. V A U D E V I L L E . AiR 149- (deMr.Mouret.) PREMIER COUP LET. UN GE'NIE, Vous, qui perdez vos fieurettes Pres d'un objet gracieux, Venez, Amans a lunettes, Venez habiter ces lieux ; V6\J? y verrez des fillettes Soupirer" pour vos beaux yeux. C H OE U R. Vous y verrez, &c. II. C O II P L E T, U N E G I N E. Beau NarcilTe a blonde trefTe, D e tes appas juge mieux ; Des faveurs de ta Maittefle Sois un peu moins glorieivx; Tome V. M Tu |