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Show 8a LE R E M O U L E UR CLAUD1NE. Je me fens itoiit de mcme; C o m m e toi, Colin, je bous: II m'eft avis que je t'aime Ici plus fort que cheux nous. C O. L. I N* C'eft le tarroir qui fait ca. A I Jt 16. (Les Fcuillantincs.) Foin du Procureux Fifcal M o n Rival * Qui nous bailie tant de naal! T o n Pc*re eft-il fou de prendre Ce vieux C o , ce vieux Coquin pour foil Gcndre? CLAUD1NE. A l R 99. {Tikn, morgue, tian,fi tufavois.y Pourquoi vcut-il m e donner Ce bon h o m m e qui radote? O n ne- pent :l'cn detourner. C O L I N. Que diantrc aufli, c'eft ta faute f. T m n , rnorg^, tran, ft tuvoulois," Tou< deux tu les attraperois; Mais su faisUoti'h fote. GLAU-D'AMOUR. *3 C L A U D I N E. A l R 100. (Ah! voyez done, ah! voyezdone.> Colin, defuivre ta lecon. Jencfuis pas fi fole; Jff.veux un peu plus de facon. A h ! voyez done. bis. C o m m e il s'y prend le Dr61e! C O L I N* A1 R 1. { Reveillez'vous, Belle endormie.) • Ah! voici le Dieu de Cythere! D e tout ce qu'il confcillera, N e faut pas aller au contraire* CLAUDI Ni. Mais c'eft fuivant ce qu'il dira.v MMtaMM»« SCE N E VI. COLIN, CL AUDINE, L'AMOUR*; COLIN, faluant P Amour. AIR 14* ( Voulez-vous favoir qui diftd&x.^ *> Votre valet, Morifieu rArriotir. L' A M O U R. Qui peut vous conduire a m a Cotir t4 D 6 C£- |