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Show $* V O M B R E T u chanterois bien davantage Si tu buvois-.de ce bon vin. S C E N E II. LE COMPERE, POLICHINELLE en guetrcs, & un baton a la mm, POLICHINELLE, apart. 0 chefatigal Me voici done arrive IPt par la commodi'te de mes Sabots comma apprcnti Financier. LE COMPERE, courant emhrajferh chinelle. Eh! C'cft le Compere Polichineile! POLICHINELLE, faifant deux? arriere. Vous £tes bien familier , mon ami! I ce que nous aurions garde les cochons femble? LE COMPERE. Je vous demande pardon , Monfieur. ] pris votre ncz pour mes feffes. Jevousai' le Polichineile de Paris. POLICHINELLE. JNon. Je fuis le Polichineile de Rome w [i D U COCHER POETE. ** L E COMPERE. Quoi1 vous feriex ce Jean Polichinellede Rome, Oncle & Lcgatairc univerfel de M a dame Perrette la Foire? POLICHINELLE. Oui, vraiment. ' LE COMPERE. Vous venei, fans doute ,recueillir fa fuc* cerTion ? P O L I C H I N E L L E. Ceft mon deflcio. Je viens tenir fa place a Paris. L E COMPERE, lui prenant la main. Pargoi, j'en fuis ravi! Vous allexdevenir mon Compere i car je le fuis de tous les Pa-lichinelles pallei, prefens & a venir. POLICHINELLE. A la bonne heure. ) LE COMPERE. Avez-vous des Ac~teurs? r P O L I C H I N E L L Ej pen ai un quarteron. C 4 *<t |