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Show »4* 'LE J E U NE ARLEQUI N. Je vous la promets. L E GARDE. E n atendant dc plus folides marques da maieeonnouTauce, acceptez, s'il vous plait, ce diamant. ARLEQUIN. Allez...Je;i*erai votre affaire (a part.) Le dr6le de Pais. S C E N E VII. ARLEQUIN, feu!, mettant le da-mant a fon doigt. Il ne m'eft plus permis d'en doutcr; j'cn ai la preuve en m a m . Qui diaiure cut jamais dcvine' que je rcrois un jqurmafortune par le canal d'un vieil Adonis? S C E N E VIII. ARLEQUIN , UN FINANCIER. L E FINANCIER. Seigneur , recevez mes tics-humbles ref-pe£ ts. ARLE-V I E 1 L L A R D. kf3 ARLEQUIN. Bon jour, mon ami. L E F 1 N A N C I E R T'nprens avec plaiiir que vous e>$ 1W me de confiance de ce beau Vieillard ou on niene a la Reine. A R L E QU IN. Cela ell vrai. LE F I N A N C1ER. Comme votre Maitre va devenir infaiili-blcmeut le Favori dc fa Majeite , je ne puis mieax m'adrcffci qu'a vous pour rCuilirdans un detlein que je medite. . A R L E Q U 1 N. Expliquez-vous. (apart.) Cela fent le tdiumaiit. L E FINANCIER. Je fuis Financier. Et je voudrois avoir la preYaenee pour le Baild'une Ferme qu'on va renouveiter. ARLEQUIN. Qu'eft ce que c'eft? L 2 LE |