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Show 37^ LA F O I RE LA FE' E. II faut vous contenter , Monfieur le R; meur, & vous coufoler du mepris des Lee." teurs. *«* M. CHEVILLARD. Vous avez trop de bonte. LA FE'E, le condnifant a la Boutique dent* cheffes. Fee Argentine., comblez de biens ce^r-tuoje. -M. CHEVILLARD. Quelle gencrofite! La Fee Argentine le touche de fa baguette. LA FE'E DOYENNE. ^ Allei, Monfieur Chevillard-, vous etes rfche a jamais. Par la vertu de la baguette qui vous a touche , il fe trouvera dans votre poche une piftolc a chaque cheville que vous-mettrez dans vos Vers. M. CHEVILLARD, fenallant, Je ferai bien t6t a mou aife. SCR • D E S F F E S. 377 S C E N E IV. LA FE'E DOYENNE , M. PLAIDANVILLE, Normand. L A F E' E. t Voyons ce que nou* ve«t eet aimable pe* tit Genttlhomme. M. PLAIDANVILLE, ^ N'eft-chc pas devant une Fee que j'ai 1 'honneur de comparoitrc c Eft-che voot, tnj douche Dame, qui tenez ici Paudieacb*? LA FE'E, apart. Ah! c'eft un Normand ! Autre Originat M. PLAIDANVILLE. Encore une fei, de'clarez-mei H v'z &t& une Fde: Rcpondez a m a foummation. L A F E' E. Il ne fcut pas vous demander fl vous &te& d* Pais de Falaifc. M. PLAIDANVILLE. Dianche ! on voit ben que v'z e*tcs FCe, puis |