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Show X LE R E G I M E NT LA FOLIE, II n'y en a pas un qui n'ait qBeique petit grain... • . . M O M U S. Quelque grain ! Parbleu , fur ce pfef-Ia v vous fcriez entrer dans le Regiment les trois quarts & demi de la Terrc. &lK *?• (Je nefujs ne, ni Rot, m Prince) Voutez vous done dans nos Brigades Fourrer tous les Cetveaux malades ? II nous faiit 4cs Timbres felez; Mais, pour qu'ils foicnt ici de mifc, Us doivent s'£tre fignalez Par quelque eelata'ue fotife. LA F O L I E. • Pefte ! s*il faut cela pour etre fimplc Ca-lotin, quels doivent done etre les Oifieiers? M O M U S. , A I R 46. ( Les Trioktt. ) Les grands fujets du Regiment Sont de vertueux perfonnages; - Us font tous de bon jugement, Les grands fujets du Regiment: f^s fe conduifent folemcnt, lis. D E LA C A L O T T E . 9 1U rdfldchiffent en gens fages. Les grands fujets du Regiment Sont de vertueux Perfonnages. LA FOLIE. Cela etant, heutcux qui pcut mcriter un§ place parmi ces Illuftres. M O M U S. A 1 R 3. (Baniffom a"ici Vhumeur noire.) Oui, chacun d'eux a le mc'ritc D e demeMer le vrai du faux; Lui-me'mc nouveau De'mocrite, Ric le premier de fes defauts. Cta, voyons les perfannes quevousvenca €*- CiiOtrt** L A F O L I E , a la Cantonnadc* A I R $- ( Quand le peril eft agre'able.) D e par le Dieu Porte-marote, Veaez ici, nouveaux Soldats; Mentrcz a M o m u s que vos Rats M^ritent la Calotc. (ellefort.) M O M U S^ Allez, & m e les envoyez Tun apres ¥m» tre. Bon. Voila de'ja un Original qui fepre- - fence 4c lui-m£ine. As &GSi~ |