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Show I M4 LE J E U N E ! LE FINANCIER. I C'eft la Ferme generate des Lunettes. ARLEQUIN, riant. H e , he*, he*, h6, h6\ La Fermegdne'ti-le des Lunettes I LE FINANCIER. Oui, des Lunettes. Comment? C'eft la Ferme la plus conliderable de l'Etat. A R L E Q U I N . Ho, ho! LE FINANCIER. L a Reine a depuis peu, par une Declaration* reiini a ladite Ferme celle desBequil-les 6t des Cannes a bee de coibin. A R L E Q U I N . Male pefte! Il faut donc que cette Iflefoit abondante en Vieillards. LE FINANCIER. L e moyen qu'il n'y en ait pas un grand nombre? Tout le mondeyparvient a une extreme yieiUelTe. O n y vit communementdeux cens cinquante, trois cens ans. AR-A R L E Q U I N - M* Bon Pa«, m a foil II faut que vous ayta. d'lubiles Medecins. LE FINANCIER. DesMedecins!Le Ciel nous en preTerve. A R L E Q U I N. Pourquoi donc ? LE FINANCIER. T! , a que! qucs amides qu'il en vint »n de France s'ctublir dans notre lfle. Ce Doc m,,', eh moins de fix mois, expddia quarante mille habitans. • A R L E Q U I N . Mifencorde! LE FINANCIER. O n fut oblige de l'affommer pour fauver tout U rette. A R L E Q U I N . ]e crois que cette .annec-la leFermiet des Lunettes ne gagna pas bx-aucoup. LE FINANCIER. En effet... cela lui fit grand tort. Jc de- L 3 mana* |