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Show S»* LA FORCE. LE'LIO. N e le voycz-vous pas bien ? A R L E Q U I N . Cela fe pcut-il demandcr ? (7/ fait mine de voulohfe deshSiller,) LE'LIO. Vxx homnie da m & k r de votre Frere...! S P I N E T T E. Elle ne (aura point qoi il eft. Il prendraon dc vos habits, & fe fera appeller Lelio. C L A R I N - II n'y a plus de diffictlte^. LE'LIO. Vous vous moqne-z.... N e m'obligez point a vons reprefcnter tonte Pabfurdite'dcce pro-jet- la. A R L E Q U I N , fe dcshabillant a derail H<£, fi! S P I N E T T E. 'Votre refiftance voustrahit, Lelio. Vous avez. de l'atachement pour Ifabelle. D E L ' A M O U R . m LE'L I O. Eh' non, ce n'eft point cela. Vous pre% mi pour un effet d'amour ce qui ne part que d'un principc d'honneur. S P I N E T T E. Que voukz vouf dire par-la ? L F L I O, Vous devex m'entendre, Je iktoh on mal-jheureux, fi je pdtoh la main a one foorbe-fie ft aimifielle/ Eotre>noos, one fille d« qmliti n'eft pas fake poor on Egyptietu A R L E Q U I N * achevant defi desbatnllcr, Les plaifans Gredins! C L A R I N; Tout Egyprico qoc je foif, je mepiqoe tV%4mt one ame noble, dc$ (mximem m - toea& S P I N E T T E Bcs qoVfle atmera m o n Frere, dtetere* gardm comme rcwi me regardct ; votre CXpmpte Ctourdira Cade'licateile. Allez. Elle s'acoutumeia avec nous. O f LE'- > |