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Show *§4 LA F O R CE SCENE II. ARLEQUIN, LE'LIO; L E' L I O. Ah! te voila Arlequin! Je fuis bien aife de te revoir. ARLEQUI^ ^ Je nVn .doute pas i purs que je vous nf* pmete pmtrmtqm'vom mmkz, fmwm ytmmer divam l&Mte wtw kite Cwfc m qm vous vmez ipmbf ki. (Lui dwnmt le Portrait*) Tmct. BmCn la main, DE'LIO, I* fnnant frmdmm, (IIU met dam fa fuhe,) AKLEQU IN, Comme vous terecevn! L E' L I O. . £%**** unc cho(e qui m'eft devenuefort rudirrdrente. AR-DE L' A M O U R. 2% ARLEQUIN. Ho, ho! Quel changement! Lors que le Marquis Afcorino, votre Perc, vousledon-n. i a Naples, vous en futes coifte dans le moment. L F L I O. J'avouc que j'en fus en flame*. ARLEQUIN. VousprelTatcs votre depart. LeBon-hom-m e eut beau vous dire: M o n Fils, le Roi, iur la nouvelle qu'il a recue de la mort du Roi de Sicile, m'a ordonne de m e temrp?et apartir pour quelque Negociationdontil veut m e charger. A tender quelques jours. Peut-etre pourrai-je vous conduire moi-me'me a Livourne. Pas pour un diable, vous ne voulutes point en demordre ; & le SrjiTeur Afcorino fut oblige de vous laiiler aller fans lui. L E' L I O. Cela ell vrai. ARLEQUIN. Nous ddcampons de Naples. Nous ve-tions ici a grandes journCes. E n arrivanc, vous |