OCR Text |
Show *J-o. L E J E U W& LA MARCHANDE. Souffrez que je vous meite feulement une couche dc pumina , . nc (Elle le barbouille de fapommade.) A R L E Q U IN, la repouffant, ^effuymt. Que faites-vous? Arr&cz-vaus donc. Mais, mais voyez un peu cette Carogne-1*. LA. MARCHANDE, luimettmdehffe* ce au menton. LaiiTez-moi faire. Deux gputes d'EiTencc vont.... ARLEQUIN, iejtejm. Ah ! vieille Guenon ! Va-r-tn a tous les~ diables... II la chaffe a coups de bate; Ld Marchmh fenfuit enlui difant des injures. S C E N E XI; ARLEQUIN,/^/. Mallyupeu* que je fuis! N'ai-re point ih J4:des:,rides & la baibebianche? II V I E I L L A R D . 2fi II fe tdte le front & le menton avec inquii*> tu etc• Mais non. Les drogues n'ont pas ei* le terns de faire leur effet, ni d'eftacer les lis 3c les roles de m o n teint. SC E NE XII. ARLEQUIN, NESTORIOJ Comedien. NESTORIO, apart, Au portrait qu'on m'en a fait, voila man ho mine. ARLEQUIN, apart. Quel perfonnageVavance ? II a l'air oft* einal. N E S T O R I O, Seigneur , la faveur qui vous attend'a \% • Cour m'oblige a vous venir faire la reverence. i A R L E Q U I N ,' II eft vrai que nous allons y avoir un peu •it credit.' N EST OR I Q. Vous voyez un Jeune-hommede ibixanter a&rqjti tort••du-Cole'gc. L 6 A^ |