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Show 393 I^A F O IR..E ' L A F ^ riant. H^i la, ha! Q u e le* fi lies font duP?cs J Mile, de KERLUTIN. D'oii viennent ces ris?' L A FE' E. Apprcnez , Mademoifelle de Quinperco. remin , qu'un Amanc eft un Chien gour-rnand, qui vient vous flater, pour avoir un morceau que vous tenez, L'a-t-il atrap<?> il court encoreo. r Mile, de KERLUTIN, (tmC C o m m e n t 1'entciKkz- vous, s'il Vous plait? L A F E' E. C o m m e jele dois. Vous-avczeu pour votre Officier cje Marine de certaines b o m « v qui ! Mile, de K E R L U T I N , encolere, Qifappellcz-vous des feonrez ? Je vous trouve oren hardfc , MaJnme la Fcfe, de vZ?n°v;ler m a V;.crru' Par la mort liable! ft LA D E S F E9 E S. $99 L A FE' E. N e vous cmportcz pas, Mademoifelle de Kerlutin* Mile, de KERLUTIN. Jefuis bien une rifle abontez ! T£te-bleu! an h o m m e feroit bien venu de m e laiffer feulement entrevoir quelque efpcrance d'avoir des faveurs! Je prcndrois un piftolet, & je lui biulerois la cervelle. L A FE'E.' Quelle vertu enragce! Mile, de KERLUTIN. Vous- ne m'apprenez rien de nouveau. Je n'ignore pas qu'un Amant fe laffed'erre heureux ; & cette conliderationfuffiroitpourme retenir dans m o n devoir. L A F E' E. Qui peut donc avoir ecarte de vous l'A-mant dont vous vous plaignez ? Mile, de KERLUTIN. Ce ^ui rend les autres eonftans, mes ri-gueurs. L A F E' E. Vous rnVtonnez. Mile. |