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Show i€ *> L E J E U N r AD I S, cW/. Que ditcs-vous? FAR 2^ A N A. ^ Je m'apercois depuis long terns- qu'il eft< d&ache de moi. A D I S. PouvexH'ons faire cette injufticc a font* motir ? F A R 2 A N A. II ne m'anne plus, vous dis-je. He ! s'if m'aimoit encore, m'abandonneioit-il, pour fatiiiaiie une vaitie curioine? A D I S. NNee vxo us pTaigiiex point, belle Fanana, dun Philofophe qui ne vous donne que l't-tude pour Rivale. A h ! il vous faviexcequ'il m a dit en partant!'.... FA R Z A N A. Ne cherchez point a l'excufcr. Son m<W rerence pcu a pen m'a glace pour lui; & un jeune-homme tout eharmant a pris la place dans m o n cceur. ADIS. V IE I L.LAR D. %t* A D I Sk Qu'entens-je/-' F A R Z A N A. J'ai le plaifir de le voir & de lui parte! tousles jours. ADIS, en col ere. % Comment cet audacieux a-t-il ptitromper aotrc vigilance, & ft derober au chaumentf.». FARZANA. Ne lui fouhaitw point de mal. C'eft... Ne dcvriei-vous pas deja m'avoir entendoe? Quel autre que vous a la liberie' de s'orfrir i ma vue ? Quel autre qu'Adis pourrok totts cher Fanana? KDlS.troubl/. OCiel! FARZANA. Je me fuis bien atendue a votre e'tonnc-ment. Je (ai ceque vous devex a Canfou; 6c j'ai prevu le trouble ou votre reconnoiilance fcrupuleufe vous jettcroit a cet aveu : Mais aufli ne devez-vous rien a. manendicife? ADIS. |