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Show l84 MS J E U M S C E N E II ARLEQUIN, TORGUT FAT! ME, CADiGE. ' E ATIM E. Dites-moi Un pen , mes Amis, croyw-vous^ que nous puiffions nousprefenteraurf. che Seigneur qui veut fe marier? TOR G U T Pourquoi non?" P A T I M E. tJZ$r qu« n0HS fortunes deux pauvres Vil-iageo. ies. O n n e voudra, peut-euc, point de nous a caufe de cela. A'R L E Q U IN. *2ta Kn^01" MaitrC ******** TORGUT. qu'il demand**/KLtS' voi,atoutce ? • •actndez ici un naonaent, je vais V I E I L L A R D . i*T Wi, vous l'envoyer, fui-moi. Arlequin V k n. Allons faire l'ellai des vins que j'aacbetei. ARLEQUIN. Tope. Je fais vin bon gourmet. TORGUT. Et un grand gourmand. S C E N E III. FATIME, C A D I G Ej F A T 1 M E. Ecouter, Cadige. II ne faut point ici faire: la fote. N o u s fommes des Orphelines fans: bien & fans appui ; il ne nous convient pat d'etre dedicates fur le choix d'un M a rL CADIGE, iCuu. air chagrin. Vous me rebates toujours lamimechofc. FATIME. Je ne faurois trop vous le re'pe'ter. Vous ne feutex pas after quel avantage ce feroit pour nous, fi Tune de nous deux dpoufoit ce riche V ieiliard. CA, |