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Show #V* LE J E U NE ARLEQUIN,/****, . B©H. Celavcommence bien. A. D I S , Ah! m a Pbuporlne, feroit-il pebble que je ne vous paruire pas defagrc<able? A M I N E ' Tout au contrarre , vourmeplaifex lift iwment. - B A N O U , bas a Arlequin. Elle moid a la grappe. ARLEQUIN, a Amine, Courage, marPoiilettc! (R*g«?d<mt Adis.) drll mc,.fenJ^e„<3««mon Maitre eft dejaplM- •droit qu'il n'dtpit. J ' M b l $ , i>Amines • A M- I, N I. «uoi vous rfftdrS MrW?^ W *» ,AR-V I E I L L-A R D. 20$ A R L E Q U I N , s'aprochant d'Adis. Voyons. Comment vous trouvcz-YOUS? A D I S . Toujours le m£me. ARLEQUIN, a Amine. Allons donc, pafiionnez-vous bien. A M I N E , ; Adis. Mon cceur eft pdne'tre de tous les fenrj.- uicns que vous pouvez fouhaiter. ARLEQUIN, hAdis. Pourle coup, cela va venir. A D I S , branlant la tete. If n'y a pas d'apparence. ARLEQUlN,.^»w. Oh! -ma fille , vo'tre cceur ne &h pas ]£$ chofes en conference. A D I S . Non. Je m'apercois avec douleur que jene* fuis pas de fon gout. % A M I N E-Fardonnez- moi, Seigneur. I 6 AR^ |