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Show ^74 IE J E U NE A D I S. Il dtoit Marchand Joualier. A R L E Q U I N . Tout jufte. A qui appartenoit le Vaiflbu fur lequel vous titertn partaiu de Ctylmt A D I S. Au Capitaine Dchaoufch. A R L E Q U I N . Que]qu'un peut vous avoir apprfs tout cc-a. Mais je vais mVclaircir tout d'un coup. Vous fouvient-il qu'un jour je vous cutrete-noisdemon fcjour en France? A D I S . Je m'en fouviens parfaitemcnt. , A R L E Q U I N . M e diricz vous bien la mauvaife affaire qui dence> arnv<fe' & dont Je voug fi*'confi- A D I S, ret'ant. L a mauva ife affaire ARLE< V I E I L L A R D . *7f ARLEQUIN, apart. Le voila pris. A D I S. Oh! jemelarappelle. A R L E Q U I N , Voyons. A D I S . T u m e dis que, pour certaine bagatelle qui deplut a la Juftice, tu avois *te cinqans aux Galdres. A R L E Q U I N , fautant au col d?Adis. Ah! Seigneur Adis, c'eft bien vous! Je n'en puis plus douter. C o m m e vous vofla fait! Aufli, vous n'avez pas youlu m e croi-re ce matin. Le vilain Sorcierl ( // regarde avec frayeur de tous cotez.) A D I S. Que regardes-tu avec tant d'agitation? A R L E Q U I N . Je reg-.rde s'il ne vient point. II pourroit acommodvi le Valet c o m m e le Maitre. H 4 ADIS, |