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Show m L E J E U N E CADI G E. A la bonne heure. A D I S. Je redeviendai !e jeune Ac'is. CADIGE, imui. H£ bien? A D I S . He-Men , je la rciiwrdeiai dc m'avoir b\i ma vieilleile. C A D I G E . Et puis apres ? ^ D I S. Je I'c'pouferai par reconnoilEmce. CADIGE. Oh I .jeveux m'en aller avec vous! ADIS. Je fuis au corrole de' ma joye ! Adorable Cadige, votre prefence loutiendra mon courage, & me donner* cet air content qui m'e4 Ii recoflftUa dans mon entrepi ile. ' ' SCE-V I E I L C A R"D. *** SCE N E XVII. ADIS, CADIGE, ARLEQUIN. ARLEQUIN. Allons , Seigneur Adis , allons gai! La ftte que vous avez ordonnee eft route prete. Vos Efclaves n'atendent que l'ordre pour ie mettre en train. ADIS. Fai-les entrer. Et va voir fur le tfort Vfl« partita bien-t6t quelque VailTeau pour 1 llle de Ceyian. ARLEQUIN-Eh 'vraiment, celui qui m'a ap'porte* ici doit cette nuit remettre a la voile pour ce Pais-la. CADIGE. II faut profiter de l'oealiom ADIS. Apres la fete ^je ferai tout preparer pom notre embarquement. K * 56® |