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Show *f« LE J £ U NE chent des gens de notreeipece! Comme toot S^ffMPdcs iViagots fi=S£ FAR 2'A'Ni C'eft un profit, je t^ure, dontjenefc- 101s pas tentee. J TORGUT. Sur ce picMa, je fuis done biendJoigncde m o n compte; puis quej'afp.Ye avousmettie-au rang de mes bonnes fortunes. FARZANA, riant de, touts fa fine. . Ha ^ ha , .ha , ha! Vous avcx des deiTeins lur m o s Seigneur Torgnt! Je fuis ravie que. vous m e n avcrtiffit-zj je m e precautionnrrai contre un h o m m e auili dangereux que vous. T O R G U T, Precautions- inuriles. Je vous rttaitt c o m m e une P!ace qui va bien t6t mariquer tie vivres. < Je veux.vous affieger par mes en-trenens ipintuels, par nie.vivesinftances, & * je ne .vous p»k prendre dWlaut, ie vous aurai par tarn inc. ' " FARZANA, riant.: t\ eft boufon! TOR-H *.V*7<*F VI EI L L A R D. in TO RG UT, J*iprenant la main. Ca, ma Reine, fupprimons les grimaces. Nous avons tme annee a nous, n'enpetdous pas un quart-d'heure. (ll'veut lui baifer la main*) F-A R Z A N A, fin airferieux, rethant fa-1 main^ • Mais je croi que c'eft tout-de bon. TO R G U T, reprenant brufquement la maim de Farzana J3I la baifant malgre elle. NV-ndoute'ipas. Je. fuis tout pret a vous •• le. pcrfuader--. FARZANA', lui d&nnaxl unfouflet. VouS:Ctes un Infolent. TORGUT. Vous ne favex pas ce que vous refufcx. F A R \t A N A. Retise-toi, vil Efclave ! Va chercher des rnalheuieufes dignes de tes douceurs. T ORG U T. Je vois bien que j'ai trop brufqud l'avantu-rc^ & que fi G 7 FAR- |