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Show W L E J E U NE SINDBAD, levant la robe d> Adis. Eh! c'ed une femme! CADIGE, pou$ant un cri Ah! ADIS. Je fuis defefpere! ARLEQUIN. Nous voila tondus. oINDBAD, a Adis avec un ris moqueur, Le beau treTor que vous cachex-la! a Cadige. Vous «te» bien habillrfe9 ma Mic, pour une jeune J^aidron. a un des Gardes. Ho!a-h(fe! Mouk! Pren-moi art* Off* »w*it. Qu'on (Q mtne dans mon Serf ail, pour Icrvir cette divine Beaut* que je vfcn* d'anacher a Mokbec. ' Lc Garde fefaifit de Cadige. CADIGE, fknrant. Al'aidc! Adisi Arlequin! ADIS, voulant la fccourir. Barbare! que &!tes-vbd's.:.! SIND-V i E H L A R D . 137 SINDBAD, retenant Adis. He, fi! (au Garde.) OWiffex, Mouk. (leGarde entraine Cadige. Sutlumemilesfuit,) S C E N E V. ADIS, ARLEQUIN, SINDBAD, UN GARDE. ADIS, a Sindbad. Otei-moi plutot la vie queicetrejeuneper-fonne. SINDBAD. Vous n'y penfei pas ! Faut-it que vous fafliet paroitre rant de douleur pour une pc-me Malheureule > ADIS, lui mettant le poing fous le l8ez. Bourreau! ARLEQUIN, apart. Quelles diables de gens! SINDBAD. Prenei des fentimens plus dignes de vous. N e fongez qu'a plaire a notre grande Reine |