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Show 4*6 LA F O I RE dc ce que vous aviez a nous demander. PANTALON. N'importc. A quelque prii que ce foit rendez-moi m o n premier nez. LA FE'E, le frappant de fa baguette. Sok. Pantaknreprendfcnneznaturel, dontilmw que beaucoup dc joye. ARLEQUIN. Et moi, je vous prie de me reprendre le don gue j'ai eu le malheur d'obtenir. LA F E' R Cela ne fe peut pas, a moins quecettd/ii-le- la ne te facrifie le don qu'elle vient cher-cher ici. ARLEQUIN, a genoux devant Violette, Violctte, ren-moi ce fervice; remets-moi dans m o n naturel. T u n'y perdras rien. VIOLETTE. C'eft beaucoup conger d'unefemme; mais je D E S FE'ES. 4^7 je t'aime, & contentement paffe richeffes. PANTALON, ^Violate. .. Ne t'avife pas de cela. ARLEQUIN,/* Pantalon,lepourfuivaat. Vieux Chenapan ! li tu ne la laiffe faire, je vais te changer en or depuis les piez juf-» qu'a la t£te. PANTALON, fuyant. J'y confens! j'y confens! VIOLETTE, Et moi auffi. LA FE'E, touthant Arlequin de fabagueite. Te voila dans ton naturel. ARLEQUIN. Eprouvons cela, Donne - moi ta main ^ Violette. VIOLETTE, reculant. Je ne m'y tie pas. L A F E' E. Ne craignez rien, j'y ai mis bon ordre. VJO- |