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Show 9*4 LA F O I RE tones. Je vais d'un coup de baguette lui r. racher le billet. £//*/*/> f*e^*ex £<?/fo de Fee, iff le billet tombe des airs. Tien, le voila. M. PLAIDANVILLE,apresPavoirramaffi. Vdre, ma fei, c'eft li-mc-me. LA FE' E. Va-t-en. Et prens garde d'etre baufT<f. M. PLAIDANVILLE, en fen allant. Ah! danneBiau-frdre, tumetenois; mais je ti tiens! C'eft tei qui feras ben gaulie. S C E N E V. LA FE'E, LOLOTTE , pctite-fiile. LOLOTTE, a part, regardant de tous cotez* Ah! M'y voici dej a! LA FE' E. Eh! ma Poulctte, par quelle avanture *- <es-vous dans ces lieux ? LO-D E S F F E S. 385- LOLOTTE. En allant chez ma Marraine , j'ai vu des gens qui lifoient une afriche. Je fuis un peu curieufe. J'ai demande ce que e'etoit. O n me l'a appris; & auffi-t6t j'ai dit en moi-m6- me: Mondieu! quejevoudrois bien voir cette belle Foire des Fees! Et dans le moment, crac, jc me trouve ici. LA FE' E. • Voila votre curiofitd fatisfaite. Vous voyez notre Foire. Regardez dans toutes ces boutiques. N'y a-t-il rien qui vous acommode? LOLOTTE. Quand j'y vermis quelque chofe qui me plairoir, je ferois bien atrapee ; car je n'a-i point d'argent. LA F E' E. L'argent n'eft point ici necellaire pour fai- • re des emplettes; tout s'y donne gratis; on n a qu'a fouhaiter. LOLOTTE. Ah! que j'en fuis aife! L A F E' E. Voulez-vous du Croquet, des Ratons ? Tome V R LO- |